Cette semaine, parlons d’autres chose que des ravages du capitalisme : Détente en musique autour du Festival Aucard de Tours, créé en 1986 par Radio Béton, (née la même année).
Depuis 33 ans qu’il existe, on pourrait le croire éternel. Mais le fragile événement a bien failli disparaître en 2016, lors d’une crue du Cher…
D’un point de vue purement comptable, ce génial et convivial festival n’existe pas : Comment Radio Béton fait-elle pour proposer 30 groupes, sur 5 jours, pour seulement 30€ ? Avec une super qualité d’accueil, de confort, et sans assassiner le public sur les tarifs des consommations…
Et vous ne trouvez pas que les « musikzactuelles » (comme on dit), semblent aujourd’hui plus intéressantes qu’elles ne l’étaient il y a 20 ans ? Que la technique, l’inventivité, la culture des musiciens a sensiblement augmenté ? Même s’il ne s’est rien créé de neuf depuis les dernières vagues de musiques électroniques de la fin des années 90…
Conversation avec Enzo, l’un des coordinateurs d’Aucard…